29 décembre 2006

Il y avait une fois, dans un pays plein de lave et de geysers, une bande de joyeux lurons dont pas mal de monde commençait à parler autour de 1988, notamment suite à leur 45 tours Birthday et Coldsweat.



Quelques albums plus tard, la chanteuse Bjork a quitté le groupe pour voler de ses propres ailes.

Plus d'informations sur le site officiel des Sykurmolarnir.

C'est drôle comment un petit détail peut parfois changer énormément de choses.

Je m'étais inscrit sur MyBlogLog le 22 décembre 2006 et j'avais dès le départ essayé de renseigner toutes les informations nécessaires, mais cette inscription restait pratiquement sans effet (notamment en ce qui concerne mon blog), mis à part les réactions de trois membres de MyBlogLog, mais cela se passait plutôt du côté de MyBlogLog.

Même le fait de visiter un blog utilisant le widget Visiteurs Récents ne semblait avoir aucun effet. Du coup, j'ai écrit un billet plutôt mitigé hier. Pendant la rédaction du billet, j'ai consulté mon compte chez MyBlogLog et j'ai procédé à quelques modifications. J'ai même envoyé une petite photo de profil (ce que je n'avais pas voulu faire au début).

Peu après, je me suis rendu compte que c'était surtout cette omission qui avait empêché MyBlogLog d'être vraiment efficace, car désormais, ma petite photo s'affichait quand je passais sur le blog d'un autre membre et j'ai fini par avoir quelques visites de la part d'autres membres de MyBlogLog.

MyBlogLog est finalement (malgré ce que j'ai dit hier) un bon outil pour animer son blog, découvrir d'autre blogueurs et pour exprimer ses affinités. Pour cela, il suffit de mettre une petite image carré sur son profil (pas nécessairement une photo), d'ajouter un widget à son blog et d'aller de temps en temps sur MyBlogLog.

28 décembre 2006

MyBlogLog

Des outils pour blogueurs, il y en a des dizaines, peut-être même des centaines. Certains sont pratiquement incontournables (comme par exemple Technorati), mais dans bien des cas, ce n'est pas si sûr.

Malheureusement, il faut souvent s'inscrire d'abord pour pouvoir s'en servir ou déjà rien que pour pouvoir se faire une faire une opinion.

MyBlogLog m'a d'abord paru comme un très bon concept, car j'avais l'impression qu'il s'agissait d'une sorte de réseau social de blogueurs, comme on pouvait le penser à travers les widgets Recent Readers ou Top 5 Links. C'est d'ailleurs le widget des Lecteurs Récents (vu sur un blog francophone) qui m'avait donné envie d'en savoir plus sur MyBlogLog.

Après une première étape d'inscription et de découverte, je découvre avec stupeur en regardant l'onglet My Home que j'ai déjà deux Admirers dont l'un m'a écrit un message et dont l'autre a en plus joint la ''communauté'' du blog damospace. Merveilleux, non ?

A part peut-être le mince détail que les deux personnes sont anglophones et n'ont probablement même pas remarqués que le blog que je venais d'inscrire sur MyBlogLog était en Français.

Certes, on peut rendre certains membres invisibles, mais comment savoir qui ne vise qu'à faire de la promotion pour son propre blog en se joignant à toutes les "communautés" qu'il croise ? A moins que c'était ça le but de MyBlogLog, la promotion réciproque, un peu comme un tag qu'on laisserait sur une façade ?

Autre widget, autre problème : le widget des liens ne fait aucune différence entre l'auteur du blog et les visiteurs. Et c'est pareil pour les statistiques qui sont en plus très sommaires (surtout dans la version gratuite) et qui sont basés sur un fuseau horaire américain.

Dommage, car avec compte tenu de ces défauts, MyBlogLog n'est peut-être rien de plus qu'encore un autre gadget pour blogueurs.

Même s'il peut parfois être assez marrant de se balader ainsi de blog en blog.

26 décembre 2006

La fin de l'année, c'est un moment comme un autre, mais traditionnellement le moment opportun de faire un bilan.

En ce qui concerne mon blog français, le bilan est plutôt mitigé. De mon côté, pas assez de billets, des sujets trop hétéroclites, pas assez de véritable contenu, du côté des visiteurs, pas assez de participation.

Pourtant, le sondage concernant 9 sur 49 a failli bien marcher (une dizaine de participants aurait été chouette), et j'ai également eu quelques visiteurs par le biais de google.

Du coup, j'hésite entre deux options : m'investir davantage pour faire enfin "décoller" mon blog ou au contraire mettre de côté toute ambition et écrire moins souvent. Me connaissant, cela risque d'être tantôt l'un tantôt l'autre.

19 décembre 2006

Le hasard a voulu que les deux CDs (WWI de White Whale et 7 from the village de Fields) commandés sur Amazon début décembre arrivent juste le jour où j'ai appris que ma candidature pour la mission d'intérim était rejetée.

En attendant la réception des CDs, j'avais déjà créé une radio White Whale sur Pandora, ce qui m'avait permis de découvrir quelques autres titres de l'album acheté (WWI), et je dois avouer que je craignais d'être plutôt déçu par cet album.

Finalement, j'aime les deux albums, avec un légère préférence pour White Whale. Le CD de Fields est d'ailleurs assez court (moins de trente minutes), ce qui était certainement une des raisons pourquoi il était aussi bon marché.

Matt Suggs, le patron de White Whale, avait d’ailleurs été membre du groupe Butterglory, un groupe dont je n’avais jamais entendu parler. Ceci dit, je trouve la radio Butterglory sur Pandora bien plus intéressante que celle de White Whale.

J'aimerais bien écrire une critique de l'album de White Whale pour Epinions, d'autant plus que l'album se trouve déjà dans la base de données sans avoir été présenté jusqu'à maintenant.

En attendant, vous n'aurez qu'à aller sur All Music Guide ou sur le site officiel de White Whale.

Et pour ne pas faire de jaloux, voici également un lien concernant Fields.

17 décembre 2006

Certains l'ont peut-être déjà remarqué : j'utilise désormais des libellés pour ce blog afin de permettre à mes lecteurs de trouver plus rapidement les billets qui pourraient les intéresser. Je pense que cela s'imposait dans la mesure où je vais tout doucement vers une centaine de billets et que la diversité des sujets traités vient d'augmenter, puisque je parle depuis peu de mes démarches de réinsertion professionnelle.

Je vous préviens d'ailleurs que ce sujet risque de prendre pas mal d'ampleur jusqu'à ce que j'aurai enfin retrouvé du boulot. J'ai même réfléchi si je n'allais pas créer un nouveau blog à part qui n'aurait traité que ce sujet. Ceci dit, je continue pour l'instant encore d'écrire sporadiquement pour Ciao et Epinions, et j'ai déjà créé quatre blogs, ce qui fait au moins un de trop.

Depuis que je suis à la recherche d'un emploi salarié (cela fait maintenant trois ans), je constate (lorsque j'ai le plaisir d'être convoqué pour un entretien) que ce sont pratiquement toujours les supérieurs hiérarchiques directes qui se chargent du recrutement des futurs employés.

Les Ressources Humaines, quant à eux, brillent par leur absence. Certes, on se doute bien que ce sont les Ressources Humaines qui tirent les ficelles, dans la mesure que ce sont eux qui accordent aux différents services le droit de recruter ou non et qui imposent le cadre de ces recrutements (ceci évidemment en accord avec leur hiérarchie).

Contrairement à ce qu'on pourrait penser, cette façon de procéder ne concerne pas que les PMI, mais même des entreprises avec quelques centaines de salariés.

Bien sûr, la présence des supérieurs hiérarchiques directes pendant le recrutement est une bonne chose, car cela évite que les Ressources Humaines puissent imposer des salariés dont le service concerné ne voudrait pas.

En même temps, on peut se demander si des simples cadres disposent vraiment des capacités et des outils nécessaires pour évaluer de façon efficace les compétences et les motivations d'un candidat. Du coup, il y a un grand risque de choisir un candidat doué pour les entretiens d'embauche plutôt qu'un candidat doué pour son travail.

En plus, ce procédé fait souvent que les supérieurs hiérarchiques directes investis du rôle de recruteur veulent éviter de prendre le moindre risque, par exemple en préférant une personne pas très expérimentée avec un profil intéressant à une personne dont l'expérience est le seul atout. La raison pour cette frilosité est simple : si jamais cela se passerait mal, les Ressources Humaines ne tarderaient pas à déclarer : c'était pourtant vous qui aviez voulu embaucher cette personne, on ne vous a imposé personne.

Ce qui plus grave encore : cette façon de faire favorise (tout simplement par l'absence d'une formation spécifique) toutes sortes de dérives, en commençant par les questions déplacées et allant jusqu'à la discrimination à l'embauche.

Il serait donc temps que cela cesse et que les Ressources Humaines jouent leur rôle en devenant le garant d'une embauche équitable et efficace, ceci aussi bien dans l'intérêt des salariés que des entreprises.

16 décembre 2006

J'ai bien essayé deux ou trois fois d'écrire ici ce qui se passe actuellement de mon côté, mais j'ai chaque fois fini par tout effacer au lieu de le publier. Là, je suppose que j'ai vraiment besoin d'en parler.

Il se trouve que je suis à nouveau au chômage, mais cette fois-ci je n'ai pas droit aux ASSEDIC. J'ai remué ciel et terre depuis début décembre et après deux candidatures sans suite je pensais enfin pouvoir décrocher une mission d'intérim.
J'ai d'abord fait un test d'Anglais à l'agence d'intérim. Ensuite j'ai passé un entretien téléphonique en Anglais, puis un autre entretien en Français suivi d'un test écrit en Anglais et pour finir encore un autre entretien en Anglais.

Je trouve que ça fait beaucoup pour une mission d'intérim payé au SMIC.

Mais le comble était qu'on m'a laissé poireauter jusqu'à hier, alors que la mission d'intérim devait commencer lundi. La cerise sur le gâteau : c'est le cabinet d'intérim qui a dû m'annoncer que ma candidature n'avait pas été retenue.

Je pense qu'après trois demi-journées perdues et presque deux semaines d'attente, il aurait été la moindre des choses de m'appeler.

2 décembre 2006

Wikipédia, l'encyclopédie libre sur Internet, constamment enrichie par un grand nombre de bénévoles, est en passe de devenir un des meilleurs outils de recherche qu'on trouve sur la toile, d'autant plus qu'elle existe en nombreuses langues.

Cela dit, une encyclopédie librement modifiable par tout le monde peut aussi poser problème, par exemple dès que les auteurs dépassent (volontairement ou involontairement) le cadre de la simple constatation de faits avérés. (En plus, on peut déjà poser la question, si la simple constatation sans aucune idéologie sous-jacente puisse exister...)

Il y a un fait assez intéressant qui vient de se produire sur la version anglophone de Wiki, et c'était en relation avec le film mi-fiction mi-documentaire Borat qui met en scène un soi-disant habitant du Kazakhstan dans son village et pendant un voyage aux États-Unis.

Comme on peut lire entre autre dans un article du journal allemand Spiegel, des plaisantins ont jugé opportun de modifier l'article anglophone de Wikipédia sur Kazakhstan pour introduire un certain nombre de plaisanteries douteuses, comme par exemple des versions grotesques de l'hymne nationale du Kazakhstan.

Du coup, les responsables de Wikipédia ont été obligé de bloquer cet entrée contre toute modification par un membre anonyme ou récent:
"Editing of this article by unregistered or newly registered users is currently disabled."

D'un côté, c'est un incident plutôt regrettable, notamment pour ceux qui essaient de défendre un film comme Borat et qui clament que celui-ci n'a aucunement comme but de railler la population du Kazakhstan.

D'un autre côté, il valait peut-être mieux que des forfaits de ce genre se produisent avant que les gens commencent à prendre tout ce qui est écrit sur Wikipédia pour de l'argent comptant...

1 décembre 2006

Une petite folie

Aujourd'hui, je suis resté à la maison pour attendre un coup de fil très important (que je n'ai pas reçu). J'en ai profité pour écouter le Podcast #15 des Inrocks et pour une fois, je suis même tombé sur deux groupes qui m'ont vraiment bien plu, d'abord The Fields, dont l'album s'appelle 7 from the village et ensuite le groupe White Whale qui vient de sortir l'album WWI.

Après, je me suis amusé à chercher quelques informations sur ces deux groupes, à commencer par le nom, car j'avais d'abord cru que le premier groupe s'appelait The Feels. Une fois cette erreur corrigée, j'ai fait le tour de PriceMinister et des marchands de disques en ligne. Rien sur PriceMinister, rien à la fnac, mais des prix assez incroyables sur amazon: 3,59 Euro pour le CD de The Fields et 7,32 Euro pour l'album de White Whale. Pas directement chez Amazon, mais chez un marchand affilié. J'ai trouvé les frais de port (presque 5 Euro) un peu cher, mais deux CD récents et neufs pour 16 Euro, ça valait quand même le coup. Même si c'était une petite folie vu l'état actuel de mes finances.

Maintenant, il ne reste plus qu'à espérer que les albums vont être aussi bien que les deux titres du Podcast.