29 novembre 2007

Hier, en attendant de recevoir le CD "Songs for the Deaf" des Queens of the Stone Age, j'ai passé une bonne heure sur un des sites inofficiels de PJ Harvey.

Notons au passage que j'ai acheté le CD en question au prix de 2 Euro (sans frais de port) sur ebay, alors qu'il m'aurait coûté 20 Euro à la fnac et 6,98 Euro sur amazon.fr. Quand je pense que certains se plaignent que les gens n'achètent plus de CDs...

Mais parlons plutôt du site PJ Harvey France, en français, non officiel et consacré à PJ Harvey. On y trouve notamment le lien vers une vidéo de sa session (9 titres + interview) à la radio KCRW. J'ai surtout aimé l'interview, car PJ Harvey y explique qu'elle a délibérément décidé de changer sa façon de composer et d'interpréter ses titres afin de se lancer un défi, plutôt que de céder à la facilité. C'est pour cette raison que sur l'album White Chalk le piano remplace la plupart du temps la guitare, et que les batteries et les basses s'y font rares.

Sinon, le site contient également une "pollygraphy" et une discographie avec la possibilité d'écouter ses albums via deezer.
Un site que tous les fans francophones de Polly Jean Harvey devraient connaître.

25 novembre 2007



Clip envoyé par fieldsband (apparemment le compte YouTube du groupe, suivez le lien pour trouver d'autres clips d'eux).

24 novembre 2007


Je dois avouer que je suis étonné que la récente signature de l'accord Olivennes suscite aussi peu de réactions.

Pour commencer, je voudrais résumer de quoi il s'agit. C'est un accord entre les représentants de l'industrie du film et du disque, le gouvernement et les fournisseurs d'accès Internet (FAI) qui a pour but de lutter contre le téléchargement non autorisé.
Pour les consommateurs français, cet accord risque de bousculer pas mal d'habitudes. D'abord compte tenu de la promesse de l'industrie du disque d'abandonner les DRM et ensuite à cause de l'obligation des FAI de sévir contre leurs abonnés pris en flagrant délit (deux e-mails d'avertissement avant la suspension ou la résiliation de l'abonnement) et de mettre en place un filtrage des contenus (si cela s'avère techniquement possible).

Concernant l'abandon successif des DRM (également appelés "verrous numériques") qui empêchent les utilisateurs de disposer librement des fichiers achetés, compte tenu du fait qu'ils sont liés à des applications et un système d'autorisations : Je pense que c'est un pas dans la bonne direction. A mon avis, et contrairement à ce souhaite parfois faire entendre l'industrie du disque, ce n'est pas forcément une concession mais plutôt une décision de bon sens (il faut arrêter de pénaliser les acheteurs honnêtes).

En qui concerne la chasse aux pirates, je regrette que l'accent ait été mis sur le téléchargement alors qu'il aurait été plus juste (et plus efficace) d'agir sur la mise à disposition de fichiers protégés par des droits.
Ce choix pourrait se révéler pénalisant pour les personnes qui ne se rendent pas forcément compte d'avoir déjà franchi la ligne rouge entre ce qui est autorisé et ce qui ne l'est pas, et également pour les parents qui ne surveillent pas suffisamment ce que font les enfants.
Ce qui est encore plus grave : Ces sanctions risquent même de tomber sur des personnes qui ont omis de sécuriser leur installation WiFi ou qui mettent leur connection Internet à la disposition d'autres personnes (utilisateurs d'une fonera, cybercafés, associations, entreprises, etc.)
En revanche, les personnes vraiment déterminées à ne pas respecter le droit d'auteur trouveront certainement des façons de contourner les contrôles.

Le filtrage des contenus me parait encore moins envisageable. Déjà, une analyse de tout fichier téléchargé risque d'être un traitement très lourd et coûteux. Ensuite, un tel dispositif devra être en mesure de faire la différence entre un fichier mp3 téléchargé légalement et librement (si, si, ça existe), un fichier mp3 téléchargé illégalement et un fichier mp3 téléchargé sur une plateforme de téléchargement légale.
Je pense que cela sera techniquement possible, mais s'il est possible d'ajouter un petit code aux mp3, il sera également possible d'enlever ou de modifier un tel code.
Ce sont donc encore une fois les personnes imprudentes et/ou un peu naïves qui risqueront de se faire prendre.

D'ailleurs, la commission Olivennes semble bien consciente du fait que de telles mesures ne pourront jamais faire cesser le téléchargement illégal. En revanche, je doute fort qu'elle a mesuré les dommages collatéraux qu'une telle chasse aux pirates pourrait causer.

Plus d'informations:

L'accord Olivennes présenté par Libération et par Le Monde.

(L'image du drapeau de pirate a été trouvé sur Wikipédia.)

22 novembre 2007

Quand on écrit régulièrement, que ce soit à titre privé ou à titre professionnel, il arrive plus ou moins souvent qu'on hésite sur la conjugaison exacte de tel ou tel verbe. Certes, il y a des correcteurs d'orthographes.

Cela dit, les correcteurs à peu près élaborés sont généralement intégrés dans un traitement de texte ce qui ne rend leur utilisation parfois pas très facile.
Les correcteurs moins élaborés (qu'on trouve par exemple dans Firefox ou dans un client mail) se bornent généralement à confirmer l'existence d'une conjugaison, sans vérifier son emploi. Vous pourrez donc écrire "je prend" ou même "tu sait" sans que le correcteur y trouve quelque chose à redire.

Voilà pourquoi le site Le Conjugueur risque de vous rendre bien des services. Facile d'utilisation, vous n'en aurez que pour quelques secondes pour vérifier la conjugaison correcte des verbes qu'ils soient basiques ou recherchés.

Vous pouvez même réviser vos conjugaisons, ce qui est particulièrement recommandé pour préparer des concours et des tests de d'embauche ou encore pour être plus à l'aise chaque fois que vous aurez besoin de produire des écrits.

Vous aurez même la possibilité de réviser quelques règles essentielles de grammaire.

Globalement, un très bon site, gratuit et avec peu de publicité. A mettre absolument dans vos raccourcis.

21 novembre 2007

Il y a des gens qui ont la chance (le culot ?) d'apparaître sur Internet sous leur propre nom. Quand on est journaliste, créatif, informaticien, cela peut avoir pas mal d'avantages d'augmenter sa visibilité sur la toile.

En tant que salarié, c'est rarement un bon plan. Même si l'on s'abstient de tout commentaire sur son travail, rien que l'éventualité de le faire un jour, ou encore une attitude critique envers n'importe quel autre société risque d'être mal perçu. D'où la nécessité de se forger une identité numérique avec un pseudo.

Premier conseil, oubliez les pseudos constitués d'un prénom (ou sobriquet) et d'un chiffre. Hormis le fait que le chiffre peut généralement être interprété de plusieurs façons (département, année de naissance, âge, etc.), c'est aussi difficile à retenir.

A éviter également, les pseudos empruntés de romans, jeux vidéos, films, etc. Un tel pseudo finit assez vite par devenir réducteur, et renforce encore l'impression que la personne qui l'utilise se cache (derrière un pseudo ET derrière un personnage). En plus, si quelqu'un fait une recherche, ce sera très difficile de faire un sorte que les liens vers le pseudo soient bien placés. Et je ne parle même pas des soucis que vous pourrez avoir si une quelconque entreprise veut protéger ces noms.

Optez plutôt pour un pseudo fabriqué de toutes pièces en assemblant ou en créant des mots. Vérifiez ensuite dans Google que ce pseudo n'est pas déjà utilisé par d'autres personnes.

Essayez de faire en sorte que votre pseudo apparaisse dans l'URL de la plupart des comptes d'utilisateur, blogs, etc. que vous créez. Par exemple, vous décidez de créer un blog de jardin en utilisant le pseudo naindejardin, créez plutôt un blog avec naindejardin dans l'URL. Ceci pour la simple raison qu'un pseudo bien choisi est plus facile à retenir, à disséminer et à chercher dans un moteur de recherche que le nom d'un blog.

Un bon moyen d'être bien placé dans les moteurs de recherche est bien sûr la création d'un nom de domaine, mais si vous avez bien choisi votre pseudo, ce n'est pas obligatoire.

18 novembre 2007

Vous avez (malgré un abonnement ADSL) l'impression que votre connexion est lente, que vous mettez trop longtemps à télécharger des fichiers, à visionner des clips, etc. ?

Dans ce cas, je vous invite à comparer votre débit théorique avec le débit réel de votre connexion.

Première précision : le débit théorique ne correspond pas forcément au débit de l'offre que vous avez souscrit, car la valeur de l'offre ne peut être atteint que dans le meilleur des cas, c'est-à-dire quand on se situe à quelques centaines de mètres du central téléphonique.

Etape 1 :
Pour connaître son débit théorique, on peut par exemple se rendre sur degrouptest (il y a encore d'autres sites pour faire un test d'éligibilité). Ensuite, il faut saisir son numéro de téléphone et son code postal. La valeur qui nous intéresse pour cette comparaison est l'estimation du débit descendant exprimé en ko/s. Les autres valeurs aussi ont leur intérêt, par exemple pour déterminer si vous pouvez avoir certaines options ou au cas où vous aurez des problèmes de connexion.

Etape 2 :
Rendez-vous sur Grenouille.com, inscrivez-vous en cliquant sur ma grenouille, indiquez les informations concernant votre offre ADSL et téléchargez le client pygrenouille.
Tout est expliqué dans le détail ici.
En lançant le client téléchargé, vous effectuez à intervalles réguliers la mesure du débit descendant en ko/s, du débit ascendant en ko/s et du ping en ms. Ces mesures n'occupent pas beaucoup de bande passante.

Attention : Une des vocations du site Grenouille est de publier les mesures effectués par ses membres sur son site web. Cela implique que vous mesures seront également consultables sous la forme d'un graphique avec votre pseudo, votre lieu de résidence et les courbes de débit et de ping. Il y a cependant un décalage d'environ une heure entre vos mesures et leur publication.



Exemple de stats Grenouille
(Cliquez pour agrandir)

Si vous êtes pressé ou si vous ne voulez pas que vos mesures soient publiés, vous pouvez également utiliser un des nombreux tests de bande passante comme celui-ci de chez ZDnet.fr.

Je pense cependant que le fait que le site Grenouille réitère et archive automatiquement les mesures (tant que l'application est active) permet de se faire une idée beaucoup plus précise de son débit réel.

Etape 3 :
Comparez les valeurs.

17 novembre 2007

Je souhaiterais réagir par rapport à l'histoire horrible rapportée (entre autres) par le site du journal libération de la fille de 4 ans qui se trouve actuellement à l'hôpital Necker et dont le parents adoptifs sont accusés d'actes de torture et de barbarie.

Si les soupçons envers les parents s'avèrent exactes, tout porte à croire qu'il s'agit d'un cas du syndrome de Münchhausen par procuration. Ce syndrome se réfère au baron allemand Münchhausen, un célèbre menteur (fictif) qui prétendait entre autres avoir volé à cheval sur un boulet de canon.
Le syndrome de Münchhausen consiste à simuler des maladies ou à s'infliger des blessures afin d'attirer l'attention du corps médical, et quand ces maladies ou blessures concernent une autre personne, on parle de Münchhausen par procuration.

Ce syndrome est assez difficile à détecter, dans la mesure où les personnes concernées font tout pour faire passer leurs sévices pour des accidents et jouent même souvent le rôle d'une personne aimante et responsable.

Il serait trop simple de jeter la pierre aux médecins et au personnel soignant semblent parfois mettre trop de temps pour détecter ce genre de cas. Quand on est habitué de soigner des blessures dont beaucoup résultent de négligences (bébés tombés de la table à langer, produits toxiques ingérés, etc.) il faut probablement se faire à l'idée qu'il y a malheureusement des accidents stupides et qu'il n'est pas possible de signaler chaque cas qui pourrait éventuellement relever d'une maltraitance.

En revanche, cela ne veut pas non plus dire qu'il n'y a pas d'améliorations possibles du système actuelle. Je pense au contraire que les choses pourraient être améliorés en renforçant les moyens des services sociaux. Ceci notamment pour éviter qu'un premier signalement qui ne comporte souvent pas assez d'éléments concrets reste sans suites. Un suivi discret et efficace par un(e) assistant(e) social(e) pourrait dans bien des cas éviter le pire.

Pour finir, je souhaiterais également mettre en garde contre les dangers que comporte chaque signalement. Il y a quelques années, il y a eu le cas d'une famille allemande dont la fille souffrait d'une maladie très rare qui faisait que ses os étaient d'une fragilité extrême. Cette fille a failli être enlevée à ses parents, car on les suspectait de maltraitances et il a fallu détecter la maladie de la fille pour laver les parents de tout soupçon.

Quelques liens pour aller plus loin :
Carnet Psy
Wikipédia
Doctissimo

16 novembre 2007

... mais le cœur n'y est plus, au moins pour l'instant.

Un grand merci à Cegetel de m'avoir fait comprendre (certes un peu brutalement) qu'il n'y a pas que l'Internet dans la vie...

Ajoutez à cela le sentiment d'avoir de plus en plus de mal à trouver encore des blogs originaux qui vont un peu plus loin que juste présenter des liens vers d'autres sites.

Seul point positif au tableau : je continue mes découvertes musicales suite à une exploration systématique de Deezer et des CDs de la médiathèque locale. En même temps, j'ai de plus en plus de difficultés de parler de musique, d'abord parce que j'ai un peu l'impression de parler dans le vide dès que j'aborde ce sujet, et également parce que je n'arrive même pas à expliquer pourquoi j'aime tel ou tel artiste alors qu'un autre me laisse complètement indifférent.

Certes, je sais que le chant y est pour beaucoup. Et les arrangements aussi. J'ai besoin d'une certaine complexité, sinon je m'ennuie, mais pas trop non plus, il faut que ce soit entrainant sans prise de tête.

D'ailleurs, je me demande parfois si j'ai vraiment envie de savoir pourquoi j'aime tel ou tel artiste.

10 novembre 2007

Ces derniers jours, j'ai effectué quelques tests, et je crois avoir assez bien compris d'où vient mon problème de connexion.

Comme atteste mon faible débit descendant (env. 100 ko/s), le DSLAM RSA59 Roubaix Saint Antoine est proche de la saturation. Même si l'on prend en compte que je suis relativement loin (env. 3,5 km) du central, je devrais avoir au moins dans les 200 ko/s.

Dans ces conditions, il peut apparemment s'avérer difficile d'établir une "vraie" connection, c'est-à-dire une connection qui ne s'arrête pas au DSLAM et qui n'affiche pas systématiquement le message "Erreur de chargement de la page".

J'y arrive en continuant de me connecter/déconnecter pendant 15 à 30 minutes, mais à force, cela devient lassant.

Il est possible que Cegetel ne détecte pas ce problème, dans la mesure où le DSLAM n'est pas en panne. Même les personnes déjà connectées ne se rendent pas compte du fait qu'il y a un problème (à part le faible débit).

Supposons que cette analyse soit juste, quelles solutions pourrait-on envisager ?
1) Opter plutôt pour une box ou un modem routeur connecté en permanence
2) à défaut, laisser l'ordinateur allumé et connecté la plupart du temps.
3) changer de FAI (en vérifiant bien que le nouveau FAI n'utilise pas les même infrastructures que l'actuel FAI).
4) attendre que Cegetel résolve le problème (mais est-ce vraiment une solution, dans la mesure où ce problème peut revenir à tout moment).

7 novembre 2007

Depuis hier, j'ai à nouveau beaucoup de mal à établir une connexion ADSL. Comme le mois dernier, le modem se synchronise sans problème, j'arrive à me connecter, mais les pages web ne se chargent pas (message "serveur introuvable"), et pas moyen de recevoir ou d'envoyer des E-mails.

Et au bout d'environ une demi-heure de tentatives infructueuses de faire afficher la moindre page web, je finis par y arriver, sans devoir démarrer l'ordinateur et sans avoir débranché le modem.

Contrairement à la dernière fois, j'ai même trouvé un message d'une autre personne branché sur le même DSLAM qui a exactement le même problème que moi.

Et qui a déjà eu des problèmes le mois dernier, exactement comme moi.

C'est sur le forum Communauté du 7 que cela se passe (cf. également ce topic).

Si c'est de cette façon que Cegetel veut nous donner envie de passer à Neuf, c'est raté. Car de toute façon, ce sera le même réseau et la même Hotline.

2 novembre 2007

En attendant d'avoir la super blogging machine plus un accès internet un peu partout, voici une solution simple pour alimenter votre blog par e-mail.
(NB: Il s'agit d'une fonctionnalité propre à Blogger, donc cela ne marchera pas avec d'autres plateformes, même s'il peut y avoir des procédés similaires.)

Voici les étapes à suivre :
1) Vous devez vous rendre sur le tableau de bord de votre blog et ensuite cliquer sur Paramètres, et puis sur E-mail.
2) Créez une adresse Mail-to-Blogger avec le format monblog.motdepasse@blogger.com (en remplaçant bien sûr "monblog" par le nom du blog concerné et "motdepasse" par un vrai mot de passe).
Avant d'enregistrer cette adresse, veiller à indiquer si vous voulez que votre billet soit publié immédiatement ou juste enregistré comme brouillon. (La deuxième option permet de tester cette fonction ou éventuellement d'ajouter des images ou informations supplémentaires avant la publication).
3) Rédigez votre billet et envoyez le par E-Mail à l'adresse créée à l'étape 2.
4) Admirez le travail ou transformez le brouillon envoyé en véritable billet.

Quelques remarques :
- Attention, le mot de passe Mail-to-Blogger permet à n'importe qui d'alimenter votre blog. Choisissez-le avec soin et gardez-le confidentiel.
- Si vous envoyez votre message en HTML (cela dépend de la configuration de votre client mail) vous pouvez utiliser les différentes possibilités de mise en forme (gras, italiques, souligné, etc.).
- Si vous envoyez par contre votre message sous forme de texte simple les balises HTML ne seront pas fonctionnels !
- Pour l'instant, cette fonction ne permet pas d'intégrer des images à vos billets.
- Pour éviter de publier votre signature ou un message publicitaire de votre service mail, finissez votre billet avec la balise #end.
- Si la publication automatique de votre billet échoue, cela sera probablement dû à des tag HTML non autorisés dans les billets. Essayez dans ce cas de l'envoyer comme texte simple ou avec un autre client (ou service) e-mail.

PS: Puisque j'ai testé la fonction Mail-to-Blogger avec ce billet, j'ai dû rajouter la balise de fin après la publication du billet.

1 novembre 2007

Comme à chaque début de mois, il y a un nouveau classement des blogs établi par Wikio.fr. Pour les premiers places, vous pouviez déjà avoir un aperçu dans un billet de Techcrunch fr d'hier, mais bon, dans cette catégorie, il y n'a pas tellement d'évolution et peu de surprises...

En ce qui concerne mon blog, j'aimerais bien rejoindre un de ces jours le "club" des Top 1000, et si possible y rester un certain temps. Pour ce mois-ci, j'ai perdu un peu de terrain (à vrai dire je m'y attendais) :
place no. 2564 (contre 2044) dans le classement général et
place no. 464 (contre 384) dans le classement High-Tech.

Il y a maintenant un classement Musique, mais je n'y figure même pas, ce qui est tout de même plutôt étrange, dans la mesure où le libellé Musique est de loin celui qui revient le plus souvent. Je pense que c'est du côté du classement des billets que ça pêche encore un peu.

Il faudrait peut-être que je commence à parler de Britney Spears et de Tokio Hotel afin que Wikio.fr classe mes billets dans cette catégorie. Je n'ose même pas écrire "afin que Wikio les classe correctement" dans la mesure où il y a régulièrement des billets sur Britney Spears avec ou sans culotte qui attérrissent dans la rubrique Musique...